Starship Troopers Extermination – TEST PS5 : Le seul bon parasite est un parasite mort !

Starship Troopers Extermination – TEST PS5 : Le seul bon parasite est un parasite mort !

Disponible depuis le 11 Octobre, découvrez notre avis sur Starship Troopers Extermination, un digne concurrent à Helldivers 2 ?

Test de Starship Troopers : Un retour en fanfares !

ENGAGEZ-VOUS DANS L’INFANTERIE MOBILE !

Développé par le studio Offworld et édité par Offworld et My.Games, la licence revient enfin sous la forme d’un FPS le dernier datant de 2005 ! S’inspirant naturellement des films du même nom, mais surtout de celui de 1997, Starship Troopers : Extermination nous met dans la peau d’un fantassin de la Fédération Terrienne. Disons le clairement, vous-êtes de la chair à canon envoyé pour reprendre des planètes conquises par les grands ennemis du jeu, les arachnides. Vous pourrez le faire à travers plusieurs missions avec des équipes allant de 4 à 16 joueurs.

Mais les gros insectes ne vous laisseront pas faire et n’hésiteront pas à vous envoyer des hordes pour vous stopper dans votre mission. 

Un gameplay simple mais satisfaisant

Soyons clair, au même titre qu’un jeu comme Earth Defense Force, on ne joue pas à Starship Troopers pour ses graphismes plus que moyen, mais pour le chaos qu’il a à offrir. La plupart des missions sont des Towers-Defense à 16 laissant place à des batailles féroces rendant parfaitement hommages aux films, d’ailleurs l’aspect Tower defense est renforcée par un outil de construction dont chaque joueur dispose, il permet de construire la base qu’on aura à défendre, allant des murs aux tourelles en passant par des bunkers. Mais vous pouvez aussi partir pour des missions de destructions de nids qui se font à seulement à 4 joueurs. On passera le mode solo (malgré l’apparition de Casper Van Dien dans son rôle iconique de Johnny Rico) qui, malheureusement, est répétitif et sert plus de tutoriel qu’autre chose.

On nous laisse le choix entre 6 classes bien différentes : le Gardien, le Démolisseur, le Sniper, le Ranger, l’Ingénieur et l’Infirmier. Outre les armes qui peuvent différer d’une classe à l’autre, c’est dans les compétences qu’elles se différencient, par exemple le Gardien pourra mettre un bouclier autour de lui alors que le Sniper disposera d’un jet-pack. 

Mais là où Starship Troopers : Extermination est impressionnant, c’est avec les piles de cadavres de ces vilaines bestioles qui peuvent s’amasser et créer un chemin de choix droit vers votre base, créant alors un capharnaüm et signant, généralement, la mort d’un bon nombre de soldats. Le jeu peut laisser plus de 100 corps inanimés au sol, ceux-ci pouvant même obstruer la construction et la fermeture des portes. Mais cela à un coup malheureusement…

Voulez-vous en savoir plus ?

Malgré une bonne formule qui ravira les fans de la première heure, Starship Troopers : Extermination n’échappe pas aux baisses de frame-rate, c’est assez fréquent même si ça n’enlève pas le plaisir de jouer. Outre les frames, le deuxième problème est les joueurs, votre partie peut rapidement devenir un enfer si il n’y a aucune coordination, vouant celle-ci à l’échec. L’utilisation du chat vocal est donc la bienvenue surtout dans les hautes difficultés. 

Conclusion et avis

Fidèle mais...
0%

Malgré un manque de diversité dans les missions et un frame-rate parfois douteux, Starship Troopers tire son épingle du jeu dans le genre Tower Defense, on ressent parfaitement la menace omniprésente des parasites et leur surnombre. Les panoramas de destruction n’ont rien à envier à des jeux du même genre. On notera un prix un peu cher par rapport au contenu proposé. On attend maintenant la suite en espérant que la roadmap et Offworld améliorerons le jeu. Rompez !  

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